Référencement SEO à l’International : nos 4 conseils pour bien se lancer !

Que vous soyez un responsable SEO, un consultant SEO ou un chef de projet SEO, la question du référencement naturel à l’échelle internationale finit toujours par se poser, et il existe peu de ressources détaillées pour y répondre. Dans cet article, nous vous invitons à explorer quatre points essentiels pour une bonne initiation au référencement d’un nouveau site web à l’international.

1- Où créer son site internet international ? Nom de domaine avec ccTLD dédié ? Sous-domaine ? Sous-rubrique ?

Dans cette section, nous vous offrirons un bref aperçu des avantages et des inconvénients de chaque choix, tout en mettant en avant notre recommandation prioritaire, à savoir l’option 1.

L’infographie fournie ci-dessus par le site Moz résume de manière concise et visuelle les principales distinctions entre les trois options les plus couramment utilisées pour gérer un site international en plusieurs langues. Plus loin dans l’article, nous explorerons la possibilité de combiner plusieurs solutions, car dans certains cas, cela peut être recommandé.

Option 1 – Le ccTLD dédié (ex : nomdedomaine.fr), la meilleure option pour partir sur de bonnes bases !

Le ccTLD (country code top level domain) correspond aux deux lettres qui remplacent le générique .com à la fin du nom de domaine (.fr dans notre exemple).

Avantages 

1. Même sans balise hreflang, Google est capable de déterminer la langue ciblée par le site internet : c’est l’idéal.

2. Si le site nécessite des ajustements importants pour chaque pays, cette méthode facilitera la maintenance sur le long terme car tout le site est dissocié des autres langues.

3. Cette configuration facilite la gestion de contenus dans plusieurs langues régionales via des sous-domaines ou sous répertoires.

4. Si le site principal dispose d’un historique technique et SEO bancal, partir sur un nouveau domaine avec ccTLD dédié permettra de repartir sur des bases saines et propres avec une stratégie SEO parfaitement optimisée dès le début.

5. Les domaines référents locaux ne seront pas dilués dans la masse d’un domaine international accueillant toutes les langues via des sous-répertoires : c’est plus optimisé.

Inconvénients :

1. Généralement plus couteux en maintenance, ressources de dev, certificats SSL, serveurs : mais cela reste assez variable d’une entreprise à une autre et d’une organisation à une autre.

2. Chaque nouveau domaine repart de 0 niveau SEO (hors linking entre versions internationales) : ce qui peut être un inconvénient ou un avantage en fonction de l’historique du domaine principal.

Option 2 – Le sous répertoire (ex : nomdedomaine.com/fr/), une bonne alternative au ccTLF dédié

Avantages :

1. Permet de profiter pleinement de l’autorité du domaine principal sans repartir de 0.

2. Généralement moins coûteux en maintenance (variable en fonction des sites et des adaptations à gérer par langue / pays).

Inconvénients :

1. Les domaines référents du domaine principal seront moins ciblés géographiquement, ils viendront d’un peu partout : perte de pertinence.

2. Les balises hreflang et canonical doivent être correctement mises en place pour que cette configuration n’ait pas d’impacts négatifs sur le positionnement des pages sur les moteurs de recherche.

Option 3 – Le sous domaine (ex : fr.nomdedomaine.com/), une autre alternative au ccTLF dédié

Avantages :

1. Peut être moins onéreux en maintenance (variable selon les sites et les adaptations requises par langue / pays).

Inconvénients :

1. Ne permet pas véritablement de profiter de la popularité du domaine principal, car il est considéré par Google comme un domaine distinct. Dans ce cas, il vaut mieux opter pour un nom de domaine avec ccTLD dédié.

2. Les balises hreflang et canonical doivent être correctement mises en place pour éviter d’avoir des impacts négatifs sur le SEO.

2- Un ou plusieurs sites par langue ? Comment gérer cela concrètement ?

La question de savoir s’il faut créer une version distincte du site pour chaque langue et chaque pays se situe à mi-chemin entre les préoccupations liées à l’expérience utilisateur et celles liées au SEO. C’est l’une des questions cruciales à résoudre lorsqu’on envisage une expansion internationale. Peut-on mutualiser les contenus, et comment gérer efficacement les situations où le contenu sera similaire sur plusieurs versions ?

L’idée de rédiger un seul contenu pour une langue utilisée dans plusieurs pays et de ne créer qu’une seule version du site pour cette langue peut sembler séduisante. Cependant, est-ce une pratique recommandée par Google ? Et si une entreprise ou une direction souhaite adopter cette approche, quelle est la meilleure stratégie technique à mettre en place pour le faire de manière optimale ?

Cas concret : cibler plusieurs pays qui parlent la même langue

Une entreprise qui cherche à s’adresser à plusieurs pays francophones, tels que la France, la Belgique francophone, la Suisse francophone, le Luxembourg, le Québec, se demande quelle stratégie elle devrait adopter pour obtenir la meilleure visibilité possible sur toutes les versions locales de Google.

La recommandation officielle de Google :

En pratique, Google recommande idéalement de créer des sites distincts avec du contenu spécifique tout en précisant à Google quelle version cible quelle langue et quel pays à l’aide de Search Console et des balises hreflang. Pour suivre ces recommandations, vous devrez effectuer les étapes suivantes :

1. Rédiger du contenu dans différentes langues, en adaptant le contenu aux particularités régionales. Par exemple, il existe des nuances entre l’anglais américain, l’anglais britannique et l’anglais australien, notamment en ce qui concerne le vocabulaire et les expressions. De même, le français parlé en Belgique diffère légèrement de celui parlé en France.

2. Sélectionner l’extension appropriée (ccTLD), sous-domaine ou sous-répertoire pour créer les différentes versions de votre site.

3. Mettre en œuvre les recommandations techniques de Google pour maximiser les chances que Google serve la bonne version du site à chaque utilisateur, notamment en utilisant la balise hreflang.

Cependant, ces recommandations de Google ne sont pas toujours simples à suivre. Dans la section suivante, nous expliquerons comment gérer des versions différentes d’un site lorsque le contenu est très similaire ou dupliqué.

URLs distinctes et contenu différent : quelles précautions prendre ?

Pour revenir à notre exemple concret, la bonne pratique à suivre serait de créer différentes versions de votre site avec du contenu spécifique pour chaque langue, en les intégrant dans une structure qui pourrait ressembler à ce qui suit :

– France – Français : exemple.fr ou exemple.com / fr.exemple.com

– Belgique – Français : exemple.be/fr/ ou fr.exemple.be / be.exemple.fr / exemple.com/

– Suisse – Français : exemple.ch/fr/ ou fr.exemple.ch / ch.exemple.fr

– Québec – Français : exemple.ca/fr/ ou fr.exemple.ca

Une fois que vous avez résolu la question des versions, il faudra informer Google de la version qui cible quel pays et quelle langue. Voici la solution recommandée par le moteur de recherche :

1. Ajoutez la balise `<link rel= »alternate » href= »https://www.exemple.tld » hreflang= »xx-xx » />` dans l’en-tête de toutes les pages de toutes les versions du site pour indiquer à Google (et aux autres moteurs de recherche) le pays et la langue ciblés par la version qu’il explorera.

   Par exemple, pour « exemple.ch/fr/ », la balise hreflang à intégrer sur toutes les pages du site serait la suivante (en mettant à jour l’URL dans la section « href ») :

   `<link rel= »alternate » href= »https://example.ch/ » hreflang= »fr-ch »/>`

   Ici, « fr » indique à Google la langue du contenu, et « ch » lui indique le pays ciblé.

2. Grâce à l’attribut hreflang, vous pouvez également indiquer à Google et aux autres moteurs de recherche quelle est votre version d’origine. Pour ce faire, ajoutez la balise hreflang suivante :

   `<link rel= »alternate » href= »http://example.com/ » hreflang= »x-default » />`

   Cela permet de spécifier à Google quelle est la version par défaut de votre site.

URLs distinctes et contenu identique ou similaire : comment gérer ce cas particulier ?

Si votre entreprise ne dispose ni du budget, ni des ressources, ni de la volonté de produire du contenu unique pour chaque pays et chaque langue (ce qui est assez compréhensible), vous devrez mettre en place la balise hreflang comme expliqué précédemment, mais vous devrez également associer à cette balise une balise `link rel= »canonical »` qui informera Google de la version proposant le contenu original.

Prenons l’exemple précédent et supposons que le contenu original se trouve sur « exemple.fr ». La mise en place de la balise canonical devrait se faire comme suit :

– France – Français : exemple.fr : aucune balise canonical à ajouter.

– Belgique – Français : exemple.be/fr/ : ajoutez une balise canonical pointant vers exemple.fr en insérant le code suivant dans l’en-tête de toutes les pages, en veillant à mettre à jour la valeur de l’attribut « href » avec l’URL de la page concernée :

  « `html

  <link rel= »canonical » href= »https://example.fr/ » />

  « `

– Suisse – Français : exemple.ch/fr/ : ajoutez une balise canonical vers exemple.fr.

– Québec – Français : exemple.ca/fr/ : ajoutez une balise canonical vers exemple.fr.

Attention : Chaque page ne peut comporter qu’une seule balise canonical. Avant de mettre en place cette balise, assurez-vous qu’aucune balise canonical n’est déjà présente sur la page, sinon cela pourrait entraîner une confusion pour GoogleBot et d’autres robots d’indexation.

3- Comment réaliser une étude de mots-clés SEO pour n’importe quel pays à l’international ?

Une fois les étapes précédentes validées, la phase de gestion sémantique devient une priorité, que ce soit dans le cadre de la création d’un nouveau site web international ou pour la réoptimisation d’un site existant. Cette phase permet de définir l’architecture du site, la structuration des contenus, la stratégie d’optimisation des balises clés (telles que les balises Hn, Title, Meta Desc) et la stratégie de contenu globale. À mon avis, l’analyse des mots-clés est une étape cruciale à ne jamais sous-estimer pour garantir le succès du référencement d’un site à l’international.

Concrètement, si vous cherchez à internationaliser un site web français vers des marchés étrangers, vous pouvez utiliser votre analyse des mots-clés en français comme point de départ, que vous ferez ensuite traduire et compléter par des traducteurs ou des référenceurs locaux.

Si vous prévoyez de gérer vous-même une grande partie de l’analyse des mots-clés sans maîtriser la langue cible, les quelques outils et approches mentionnés ci-dessous se révéleront extrêmement utiles (ils le sont également pour l’analyse des mots-clés en français).

3 outils indispensables pour réaliser une étude de mots-clés efficace pour n’importe quel pays :

Lorsque vous effectuez une analyse des motsclés pour votre site web international, plusieurs outils et approches sont à votre disposition pour vous aider :

1. Google AdWords Keyword Planner : Vous pouvez utiliser cet outil pour obtenir des suggestions de mots-clés en ciblant un pays spécifique et une langue particulière en ajustant les paramètres avancés de la section « Idées de mots-clés ». Cela vous permettra d’obtenir des idées de mots-clés associées aux volumes de recherche mensuels correspondant à votre marché cible.

2. SEMrush : Utilisez SEMrush pour analyser le trafic et les mots-clés des principaux concurrents en utilisant le rapport « Organic Search Positions ». Cela vous aidera à comprendre les mots-clés qui fonctionnent bien dans votre niche et à découvrir ce que font vos concurrents.

3. Ubersuggest : Ubersuggest est un outil pratique pour trouver des idées de mots-clés à longue traîne sur des sujets spécifiques dans presque n’importe quelle langue. Il peut vous aider à élargir votre liste de mots-clés et à découvrir des variations pertinentes.

En combinant ces outils et en effectuant une analyse approfondie des mots-clés, vous pourrez développer une stratégie solide pour votre site web international et maximiser votre visibilité dans les moteurs de recherche.

4 autres moyens d’obtenir des mots-clés intéressants :

Voici quelques sources et méthodes que vous pouvez utiliser pour enrichir votre liste de mots-clés lors de l’analyse de votre site web international :

1. Recherches associées dans les moteurs de recherche : Explorez les recherches associées proposées par Google, Bing, ou d’autres moteurs de recherche populaires dans le pays ciblé. Ces suggestions peuvent vous donner des idées de mots-clés connexes.

2. Suggestions de recherche des moteurs de recherche : Les moteurs de recherche fournissent souvent des suggestions de recherche lorsque vous commencez à taper une requête. Ces suggestions sont basées sur les tendances de recherche actuelles et peuvent révéler des mots-clés pertinents.

3.Google Trends: Utilisez Google Trends et examinez la section « Requêtes associées ». Cela vous permettra de découvrir les sujets populaires et les mots-clés liés aux tendances actuelles dans le pays ciblé.

4. Wikipedia: Wikipedia est une ressource précieuse pour découvrir des sujets et des mots-clés pertinents dans de nombreuses langues. Explorez les articles pertinents et examinez les liens internes pour identifier des mots-clés maillés.

En utilisant ces sources et en effectuant une recherche approfondie, vous serez en mesure de créer une liste de mots-clés diversifiée et pertinente pour votre site web international, ce qui contribuera à améliorer votre référencement et à mieux cibler votre public dans différents pays et langues.

4- QUID du netlinking à l’international ? Les pistes à creuser.

Référencer un site international, qu’il soit hébergé sur un sous-domaine, un sous-répertoire ou un ccTLD dédié, revient en fin de compte à appliquer les mêmes principes que pour tout autre site web. Par conséquent, il est recommandé de suivre les étapes suivantes :

1. Établir des liens entre vos différents domaines internationaux, prenant exemple sur l’approche de Wikipedia.

2. Diversifier au maximum votre profil de backlinks, en cherchant des liens provenant de blogs spécialisés, de sites spécialisés, de forums dédiés, d’annuaires pertinents, etc.

3. Limiter l’utilisation d’ancres optimisées, privilégiant plutôt l’utilisation d’ancres « naturelles« .

4. Acquérir des liens dofollow ET nofollow pour une meilleure variété et pertinence.

5. Cibler un nombre restreint de domaines référents, en privilégiant ceux ayant une autorité solide, utilisant des ccTLD locaux ou ne publiant que du contenu dans la langue cible, et traitant des sujets en rapport avec votre activité.

6. Éviter de rechercher des liens sitewide, des partenariats de liens, des liens dans les pieds de page (footer), ou des liens insérés dans des widgets.

En résumé, le référencement d’un site international exige une approche stratégique qui repose sur la diversification des sources de liens, la qualité des sites de référence, et une utilisation mesurée des ancres optimisées.

3 pistes à creuser pour booster sa stratégie d’acquisition de backlinks à l’international :

Créer un contenu exceptionnel et original, surpassant idéalement celui de vos concurrents, en l’accompagnant de visuels de haute qualité tels que des images et des vidéos. Plus votre contenu sera de grande qualité, plus il suscitera l’engagement sur les réseaux sociaux et aura des chances d’être mentionné naturellement sur d’autres sites, blogs, et forums spécialisés.

Conduire des recherches approfondies dans votre domaine d’activité et présenter les résultats sous forme d’une infographie que vous pourrez proposer à divers blogs et magazines traitant de votre secteur.

Établir le contact avec des blogueurs et influenceurs locaux en vue de créer des articles sponsorisés. Que les liens soient en dofollow ou nofollow, ces collaborations apporteront des avantages indéniables sur le plan marketing et de communication, en plus de leur potentiel pour renforcer la confiance et l’autorité SEO.

BONUS : Un peu perdu ? Des formations au SEO international existent !

Bien que le SEO international puisse sembler initialement complexe, il est tout à fait possible de le maîtriser avec de l’apprentissage. Des agences SEO hautement spécialisées offrent des formations dédiées au SEO international, telles que l’agence Primelis, qui propose des programmes adaptés à tous les niveaux. Vous pouvez en savoir plus ici : https://www.primelis.com/expertises/referencement-international/

Si le coût d’une telle formation dépasse vos moyens, vous pouvez déjà faire des progrès significatifs en effectuant une veille approfondie sur Internet et en utilisant les ressources gratuites fournies par Google pour vous orienter vers le succès.

Voici quelques lectures recommandées pour approfondir vos connaissances en matière de SEO international :

– https://support.google.com/webmasters/answer/182192?hl=fr#3

– https://webmasters.googleblog.com/2014/05/creating-right-homepage-for-your.html

– https://moz.com/community/q/cross-domain-canonical-and-hreflang

– https://moz.com/blog/5-takeaways-from-earning-links-in-130-countries

En résumé, bien que le SEO international puisse sembler intimidant au début, il est possible de le maîtriser grâce à des formations spécialisées et à des ressources en ligne accessibles à tous.

Existe-t-il des agences spécialisées dans le SEO international ? 

Absolument, il existe des agences spécialisées dans le domaine du SEO international, parmi lesquelles on peut citer :

Noiise

– Digimood

– Beelingwa

Ces agences se consacrent à l’optimisation de sites web afin d’améliorer leur visibilité et leur classement sur les moteurs de recherche à l’échelle mondiale. Leur objectif est de cibler différents pays et langues pour aider les entreprises à accroître leur présence en ligne dans divers marchés. Elles s’appuient sur des experts en SEO et des compétences spécifiques en marketing international pour adapter leurs stratégies SEO en fonction des particularités de chaque pays.

FAQ : Que devez-vous savoir sur le SEO pour vous lancer à l’internationale ?

Qu’est-ce que le SEO ?

Le SEO, qui signifie « Search Engine Optimization » ou optimisation pour les moteurs de recherche, englobe un ensemble de méthodes et de stratégies destinées à améliorer la visibilité et le positionnement d’un site web dans les résultats des moteurs de recherche tels que Google, Bing, et autres. L’objectif principal du SEO consiste à attirer un trafic de qualité vers le site en renforçant sa pertinence aux yeux des moteurs de recherche. Ces techniques comprennent l’optimisation des mots-clés, la création de contenu de haute qualité, l’amélioration de la structure du site et l’acquisition de liens de qualité provenant d’autres sites web. Le SEO joue un rôle essentiel pour les entreprises qui souhaitent élargir leur présence en ligne et toucher un public plus vaste.

Quel est le meilleur outil pour gérer le SEO de son site ?

Il n’existe pas de solution unique considérée comme étant « la meilleure » pour gérer le SEO d’un site, car cela dépend des besoins spécifiques de chaque site et de ses objectifs particuliers. Cependant, certaines plates-formes populaires parmi les professionnels du SEO incluent des outils tels que SEMrush, Moz, Ahrefs et Google Search Console. Ces plateformes proposent une gamme de fonctionnalités variées, notamment l’analyse des mots-clés, le suivi des classements, la surveillance des backlinks et l’audit du site. Il est crucial de comparer les fonctionnalités et les tarifs de ces outils afin de trouver celui qui correspond le mieux à vos besoins et à votre budget.

Quelle est la différence entre le SEO et le SEA ?

Les deux méthodes distinctes visent à accroître la visibilité d’un site web dans les résultats des moteurs de recherche, mais elles opèrent de manière différente :

Le SEO implique une optimisation organique du site web pour améliorer son classement dans les résultats de recherche. Cela comprend l’optimisation des mots-clés, la création de contenus de qualité, l’amélioration de la structure du site et l’acquisition de liens de qualité en provenance d’autres sites.

Le SEA, en revanche, relève d’une approche publicitaire dans laquelle les annonceurs paient pour afficher des annonces sur les moteurs de recherche. Ces annonces apparaissent généralement en haut ou en bas des pages de résultats et sont clairement identifiées comme « annonces ». Les annonceurs font des enchères sur des mots-clés spécifiques et ne paient que lorsque quelqu’un clique sur leur annonce (PPC – Pay-Per-Click).

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